Francofête 2017
Mets L’accent sur la fête !
Venez célébrer avec nous la culture d’expression française en participant à de nombreuses activités à la fois ludiques et instructives! Au programme: des conférences, des jeux, des ateliers interactifs, du slam et du cinéma!
Vous êtes tous les bienvenus !
Pour plus d’information, veuillez contacter Laetitia Desanti, coordonnatrice de l’événement:
ldesanti@dawsoncollege.qc.ca 514-931 8731 poste 4350
Heure
|
Mardi 21 mars 2017
|
Mercredi 29 mars 2017
|
---|---|---|
8h30-10h | DzԴéԳ David Bernier, cinéaste-illustrateur 5B. 16 ou ateliers à la carte |
Ateliers à la carte |
10h-11h30 | DzԴéԳ David Bernier, cinéaste-illustrateur 5B. 16 ou ateliers à la carte |
Ateliers à la carte |
11h30-13h | DzԴéԳ David Bernier, cinéaste-illustrateur 5B. 16 ou ateliers à la carte |
DzԴéԳ Thomas Hellman, compositeur-interprète 5B. 16 ou ateliers à la carte |
13h-14h30 | Atelier performance Fabrice Koffy, slameur 5B. 16 ou ateliers à la carte |
DzԴéԳ Thomas Hellman, compositeur-interprète 5B. 16 ou ateliers à la carte |
14h30-16h | DzԴéԳ contée Stéphanie Bénéteau, conteuse 5B. 16 ou ateliers à la carte |
Atelier performance Fabrice Koffy, slameur 5B. 16 ou ateliers à la carte |
16h-17h30 | DzԴéԳ contée Stéphanie Bénéteau, conteuse 5B. 16 ou ateliers à la carte |
侱é-ھپDz King Dave de Podz 5B. 16 ou ateliers à la carte |
18h-21h | 侱é-ھپDz King Dave de Podz 5B. 16 |
侱é-ھپDz La passion d’Augustine de Léa Pool 5B. 16 |
I. DzԴéԳs
1. Thomas Hellman, auteur-compositeur-interprète
Thomas Hellman est né à Montréal en 1975, d’un père américain et d’une mère du Sud de la France. Il est détenteur d’une maîtrise en littérature française de l’Université McGill. Il a fait paraître sept albums, en français et en anglais, qui lui ont valu de nombreux prix, dont le prix é- au Québec, et, à deux reprises, le Coup de Cœur de l’Académie Charles-Cros en France.
Lors de la conférence, Thomas Hellman parlera de son parcours, de son rapport à l’art et à la littérature, et de son plus récent projet, en ponctuant ses propos de chansons, accompagné à la guitare, au banjo ou au piano. Les thèmes abordés peuvent être, par exemple, celui de l’américanité : rapport à la langue, au territoire, à l’histoire de la musique folk, rapport à la littérature, rapport entre les mots et la musique ainsi que le rôle de l’art.
Site :
2. David Bernier, cinéaste-illustrateur
Cinéaste d’animation, illustrateur et graphiste travaillant à Sainte-Rose, David Bernier est diplômé en arts visuels et en scénarisation cinématographique à l’UQAM. Ses films et ses illustrations, fabriqués à 100% de matériaux récupérés, portent un regard critique sur notre société nord-américaine et tentent de faire un brassage d’idées sur certains grands enjeux. Il puise dans l’univers des contes et des légendes québécois et amérindiens pour élaborer ses récits cinématographiques.
L’auteur veut :
- Susciter l’intérêt des jeunes à ces enjeux;
- Montrer aux jeunes l’immense potentiel créatif et artistique qui se trouve au fond de leur propre poubelle.
Pour rendre sa conférence plus concrète, le cinéaste va projeter ses deux courts métrages d’animation :
Chasse-Galerie Millenium (7 minutes) :
La colère des bois (12 minutes) :
II. Cinéma
KING dave
King Dave de Podz (2016)
Durée : 99 minutes
Dave est un frondeur. Un King autoproclamé, influençable mais pas inconscient. Alors qu’il se met en tête de retrouver l’inconnu qui a dansé avec sa blonde en lui poignant le cul, comme si de rien n’était, il décide de se faire justice. Entre violence, peine d’amour et amitié trahie, Dave va mettre le doigt dans le tordeur et s’y engouffrer, toujours poussé par en avant sans jamais s’arrêter. Pour Dave, ton voisin, ton ami, ton fils, ton neveu, est-il possible de remettre le compteur à zéro?
Lire la critique :
La passion d’augustine
La passion d’augustine de Léa Pool (2015)
Comédie dramatique
Durée : 103 minutes
Simone Beaulieu, devenue mère Augustine, dirige avec succès un petit couvent où l’enseignement de la musique tient une grande place. Passionnée, Mère Augustine met toute son énergie et son talent de musicienne au service de ses élèves. Lorsque sa nièce Alice lui est confiée, elle découvre une jeune femme dont les aspirations sont au diapason de l’époque. Mais, lorsque le gouvernement du Québec instaure un système d’éducation public au milieu des années soixante, l’avenir de Mère Augustine et de ses Soeurs est menacé.
Lire la critique :
III. Ateliers à la carte
ATELIER 1 : jeu de négociation en ligne
Activité animée par Avery Rueb, professeur au collège Vanier
Le jeu s’appelle « Prêt à négocie».
Le joueur apprend la langue en négociant à voix haute avec un partenaire afin de louer un appartement, d’acheter un téléphone cellulaire ou même de préparer un voyage sur la Lune. Il y a des badges afin de motiver les étudiants, en particulier en ce qui a trait à la collaboration entre joueurs. Un badge, nommé « badge super social », est remis au joueur qui négocie avec au moins 5 autres partenaires.
ATELIER 2 : Composition de chansons
Activité animée par Hugo Bonneville
L’objectif de l’atelier est d’écrire les paroles d’une chanson dont Hugo Bonneville a préalablement composé la mélodie.
- La chanson doit comporter trois ou quatre couplets et un refrain de quatre vers chacun (16-20 vers).
- Les participants cherchent à développer la musicalité du texte afin qu’il devienne, un peu comme la poésie, riche de sons, de rythme et de sens, et qu’il colle le plus possible à la musique.
- Ils se familiarisent ou approfondissent les notions de rime, de structure, de métrique et de figures de style.
À la fin de l’atelier, Monsieur Bonneville chante plusieurs chansons des participants qui m’auront volontairement remis leur texte.
ATELIER 3 : Jeu « Dixit »
Activité animée paLaëtitia et les professeurs du département
Dixit est un jeu pour 2 à 8 joueurs (avec extensions). Les joueurs reçoivent chacun 6 cartes imagées.
- A chaque tour, l’un des joueurs est conteu: il choisit l’une des 6 cartes sans la montrer aux autres joueurs. Il annonce un indice : cela peut être un mot, quelques mots, une phrase qui se rapporte à cette carte.
- Ensuite, chacun des autres joueurs choisit une carte dans sa main qui pourrait, elle aussi, se rapporter à l’indice annoncé.
- Le conteur récolte toutes les cartes, les mélange avec la sienne et les place au centre de la table, en rangée. Les joueurs doivent secrètement choisir la carte qu’ils supposent être celle du conteur.
- Ils vont marquer des points s’ils ont trouvé la bonne carte ou si d’autres joueurs ont voté pour la carte qu’ils avaient donnée au conteur. Ce dernier, quant à lui, fait des points si au moins un joueur a trouvé sa carte, mais pas tous les joueurs.
IV. Spectacles Interactifs
1. ATELIER DE SLAM/performance
Animé par Fabrice Koffy, slameur
Fabrice Koffy est né en Côté d’Ivoire et réside à Montréal depuis 1998. Il fait partie d’un groupe de musiciens avec lesquels il fait de l’improvisation. ().
Issu de la tradition de l’oralité, Fabrice sait capter l’attention de son auditoire. C’est sans préambule qu’il débute ses activités par une démonstration du slam, ce qui suscite la curiosité des jeunes à se laisser prendre au jeu.
Les ateliers sont rythmés et structurés.
- Au départ, aux exercices à l’écrit et à l’oral sont juxtaposés des jeux permettant d’utiliser son corps dans l’espace. De courts exposés d’histoire de l’oralité et de la poésie ponctuent la séance.
- Petit à petit, tout en assimilant différentes techniques, les participants seront amenés à s’exprimer grâce à la construction d’un texte personnel dont ils auront choisi le thème porteur
2. CONTES DE LA FRANCOPHONIE, conférence contée
Animée par Stéphanie Beneteau
Stéphanie Beneteau a conté professionnellement dans des centaines d’écoles, salles de spectacles, bibliothèques et Maisons de la culture au Québec, en Ontario et en Europe. Conteuse bilingue, elle nous propose une exploration des contes traditionnels de la francophonie (Québec, Afrique, Vietnam, Belgique, etc.) qui inclut une introduction à la tradition orale, l’origine des contes, la pluralité des cultures, la raison pour laquelle ils sont toujours vivants aujourd’hui, tout en racontant des histoires avec l’intonation, la gestuelle et en faisant ponctuellement participer les étudiants. Par exemple, les contes d’Afrique francophone requièrent la participation du spectateur sous forme de conversation. Elle s’assure ainsi que les étudiants ne sont pas perdus et suivent le fil de l’histoire.